LES TROUPES DE MARINE TOME 1 - LES DERNIÈRES CARTOUCHES.
Depuis leur création par Richelieu, les troupes de marine ont écrit leur histoire sur tous les points du globe à travers les conquêtes de la France. Qu’ils soient fantassins (« marsouins ») ou artilleurs (« bigors »), coloniaux ou troupes indigènes, soldats bâtisseurs, leur unité se fait sous l’emblème commun de l’ancre d’or de marine. Au cours des XVIIIe et XIXe siècles, ils s’illustrent surtout Outre-Mer et accumulent les exploits : la bataille de Fatahua (1846) en Polynésie est une de leurs plus glorieuses victoires, la très difficile campagne du Mexique marque l’opinion, les campagnes indochinoises inaugurent l’enterrement dans des tranchées et les combats de guérilla. D’autres troupes de marine se battent aussi glorieusement sur le front européen, lors de la guerre de Crimée puis de la guerre de 1870 contre la Prusse. Là, à Bazeilles, l’épisode des « dernières cartouches » témoigne de la valeur et de l’honneur de ces troupes d’élite. Ce fait héroïque, entré dans la légende, est fêté tous les ans à la date anniversaire de la bataille.
Cette BD, accessible aux jeunes dès 12 ans, est le 1er tome d’une trilogie. Il s’agit de la réédition de la série passionnante du duo Serge Saint-Michel et René Le Honzec. Initiée à l’origine par le Comité national des traditions des troupes de marine, la voilà enfin à nouveau disponible ! Le dessin dynamique s’appuie sur un scénario précis et fidèle à la mémoire de cette arme.
Préface du général Charles Sioc'han de Kersabiec, postface du général Armel Le Port.
LES TROUPES DE MARINE TOME 2 - LES BÂTISSEURS D'EMPIRE.
Depuis leur création par Richelieu, les troupes de marine ont écrit leur histoire sur tous les points du globe à travers les conquêtes de la France. Qu’ils soient fantassins (« marsouins ») ou artilleurs (« bigors »), coloniaux ou troupes indigènes, soldats bâtisseurs, leur unité se fait sous l’emblème commun de l’ancre d’or de marine. À la fin du XIXe siècle, les troupes de marine, sous le gouvernement de Jules Ferry, sont le fer de lance de la construction de l’empire colonial français, de l’Indochine au Sahara, en passant par l’Afrique de l’ouest ou Madagascar. De véritables aventuriers se distinguent dans des expéditions mémorables ; ils deviennent des chefs de grandes valeurs : Francis Garnier, Courbet, Galliéni, Gouraud, Lyautey, Mangin... Durant la Première guerre mondiale, beaucoup de troupes indigènes viendront défendre le sol français contre l’envahisseur allemand et faire le sacrifice de leur vie. Sous l’impulsion de Lyautey, l’exposition coloniale de 1931 rend hommage à tous ces bâtisseurs d’empire.
Cette BD, accessible aux jeunes dès 12 ans, est le 2e tome d’une trilogie. Il s’agit de la réédition de la série passionnante du duo Serge Saint-Michel et René Le Honzec. Initiée à l’origine par le Comité national des Traditions des Troupes de Marine, la voilà enfin à nouveau disponible ! Le dessin dynamique s’appuie sur un scénario précis et fidèle à la mémoire de cette Arme.
Préface du général Charles Sioc'han de Kersabiec, postface du général Armel Le Port.
LES TROUPES DE MARINE TOME 3 - LES SOLDATS DE LA LIBERTÉ.
Ce 3ème opus couvre 60 ans d’évolution de la « colo », des troupes coloniales aux troupes de marine, de la guerre aux missions humanitaires, des faits d’armes individuels à la participation aux opérations au sein des forces multinationales.
Au cours de la Seconde guerre mondiale, les troupes coloniales multiplient les faits d’armes. Un régiment des unités coloniales est le seul qui l’emporte sur les allemands en juin 1940. Puis, le ralliement des troupes coloniales à la France Libre de de Gaulle est tel qu’elles constituent le gros de son armée. Le serment de Koufra et Bir Hakeim est encore des moments d’une gloire durement gagnée. La colo mène une vraie guérilla en Indochine et en Algérie. Les parachutistes coloniaux s’y illustrent de façon remarquable. En 1958, suivant le mouvement de décolonisation, la volonté politique transforme les troupes coloniales en « troupes de marine » et lui conserve son originalité statutaire. Depuis les années soixante, les jeunes états indépendants souffrent de rébellions qui mettent en danger les nouveaux régimes. Ils sont défendus, protégés, accompagnés par les troupes de marine dont les paras s’illustrent par leur bravoure et le succès de leurs interventions. Aujourd’hui arme par excellence de la prévention et de l’intervention, les troupes de marine ont été sur tous les continents et continuent l’actualité de l’épopée de la «colo».
Réédition de la création passionnante du duo Serge Saint- Michel et René Le Honzec. Initiée à l’origine par le comité, et entièrement remise en couleurs.
LES TROUPES DE MARINE TOME 4 - DEPUIS 1995... SUR TOUS LES FRONTS.
Un jeune appelé rejoint la « colo » à Djibouti. Son parcours au sein des Troupes de Marine est le prétexte efficace qui permet de retracer l’histoire la plus récente des marsouins et bigors. Ce sont ainsi 30 ans d’opérations extérieures qui défilent, du début des années 1990 à 2020. Le sergent marsouin s’enorgueillit des faits d’armes de ses camarades lors de la Guerre du Golfe, il combat dans la Somalie sombrant dans la guerre civile, il sert un temps comme Casque bleu et lutte contre le terrorisme en Afrique… Adaptation, bravoure, sens de l’interarmées au service de l’opérationnel, voilà des caractéristiques bien représentées lors de ces années mouvementées !
Où l’on voit que l’esprit des Troupes de Marine de la fin du XXe s. et du début du XXIe s. se manifeste dans l’alternance souple entre une posture de neutralité, l’efficacité de la répression par les armes et la capacité à négocier.
Depuis leur création par Richelieu, les Troupes de Marine ont écrit leur histoire sur tous les points du globe à travers les conquêtes de la France. Qu’ils soient fantassins (« marsouins ») ou artilleurs (« bigors »), coloniaux ou troupes indigènes, soldats bâtisseurs, leur unité se fait sous l’emblème commun de l’ancre d’or de marine.