27 janvier 1963 : Le 2 RIMa, commandé par le colonel Pechberty, arrive au Mans et au camp d’Auvours
C’est sa première garnison en métropole depuis novembre 1942.
Créé le 13 novembre 1822 (1831) sous le nom de 2ème RIM à Brest, le régiment devient 2ème RIC le 1er janvier 1901. Dissous le 8 novembre 1942, alors qu’il faisait partie de l’armée de l’armistice, il renaît le 1er avril 1945 à partir de la 2ème demi-brigade de la 1ère DFL qui prend l’appellation de 2ème RIC en 1945. Il sert ensuite en Indochine puis en Algérie de 1947 à 1963.
Le 1er décembre 1958, il devient le 2ème RIMa.
Le camp d'Auvours se situe à 11 kilomètres à l'Est du Mans. Il a été créé en 183l.
De la fin du XIXe siècle à la veille de la Seconde Guerre mondiale, il sert à l’entraînement et au tir des artilleurs.
Entre 1940 et 1944, les Allemands le transforment en dépôt de munitions. C'est alors que sont construits les hangars et les merlons (Saint-Hubert et Vertville : le village de combat du 2ème RIMa) et le réseau de voies ferrées, dont il subsiste quelques vestiges, est créé.
En 1946, l'Ecole d'Application de l'Infanterie s'implante sur le camp. Au départ de l'Ecole pour Coëtquidan, le camp devient le Centre d'instruction du Train de la 3ème Région militaire.
En 1950, les éléments français devant former le bataillon français de l'ONU pour la Corée sont regroupés à Auvours pour parfaire la cohésion de l'unité.
Créé le 13 novembre 1822 (1831) sous le nom de 2ème RIM à Brest, le régiment devient 2ème RIC le 1er janvier 1901. Dissous le 8 novembre 1942, alors qu’il faisait partie de l’armée de l’armistice, il renaît le 1er avril 1945 à partir de la 2ème demi-brigade de la 1ère DFL qui prend l’appellation de 2ème RIC en 1945. Il sert ensuite en Indochine puis en Algérie de 1947 à 1963.
Le 1er décembre 1958, il devient le 2ème RIMa.
Le camp d'Auvours se situe à 11 kilomètres à l'Est du Mans. Il a été créé en 183l.
De la fin du XIXe siècle à la veille de la Seconde Guerre mondiale, il sert à l’entraînement et au tir des artilleurs.
Entre 1940 et 1944, les Allemands le transforment en dépôt de munitions. C'est alors que sont construits les hangars et les merlons (Saint-Hubert et Vertville : le village de combat du 2ème RIMa) et le réseau de voies ferrées, dont il subsiste quelques vestiges, est créé.
En 1946, l'Ecole d'Application de l'Infanterie s'implante sur le camp. Au départ de l'Ecole pour Coëtquidan, le camp devient le Centre d'instruction du Train de la 3ème Région militaire.
En 1950, les éléments français devant former le bataillon français de l'ONU pour la Corée sont regroupés à Auvours pour parfaire la cohésion de l'unité.